Entravés, libérés, charnus, offerts, pudiques... Des corps de femmes, donc, en photo. Le nombre de galeries est assez stupéfiant. On sent que ce photographe aime la mise en scène, pourquoi pas BDSM, et l'on devine surtout que les modèles prennent plaisir à se tenir devant l'objectif. Au point, certainement, de l'oublier pour mieux entrer dans leurs rôles... ou en elles-mêmes. Un coup d’œil sur ses galeries devraient convaincre les esprits les plus chagrins.
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