La menteuse, vêtue d’une
simple culotte de dentelle, sort du lit, se regarde dans le miroir. Ses seins
sont petits, pointus, fermes.
Nous la retrouvons sous la douche ; ses
tétons dardent, certainement au contact de l’eau froide. Sa bouche est
entrouverte, l’eau ruisselle le long de ses fesses. Ses yeux sont clos, et son
pubis n’est qu’à peine recouvert d’une toison brune et discrète. Elle se
savonne, se frotte doucement la peau, descend le long de son ventre, là, un peu plus bas, et s'y attarde, une main rejoignant l'autre, ne sais plus exactement quelle humidité se trouve au bout de ses doigts. Enfin, la pomme de douche vite attrapée, elle se rince, pleine de self-contrôle, oriente le jet vers son clitoris, dont elle essaye d'éteindre l'incendie. Elle se cambre.
Puis elle
essore ses longs cheveux.
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