Ce jour, elle n'ira pas travailler. Trop de soleil, un médecin complaisant signant un arrêt-maladie à la va-vite, et la voilà partie sur le chemin des dunes, non loin. Quelle idée, d'habiter en bord de mer : les tentations sont trop grandes.
Parmi les herbes hautes sur le chemin sableux, le jeune homme qu'elle surprend la main dans le caleçon la fait sourire. Sa gêne à lui, son excitation à elle, pas tout à fait éteinte, le reflux qu'on entend...
Elle ne peut rester indifférente à tant de détresse affective. D'autant que l'engin parait d'une solidité sérieuse. Elle s'approche. S'agenouille devant lui, sans un mot.
Face au pelvis masculin qui se cambre, elle laisse
aller et venir sa langue sur le membre qui lui est offert. Leurs peaux mates
contrastent sur le sable blanc. Les lèvres de la menteuse effleurent les
bourses, avant de remonter vers le gland, qu’elle enfourne goulument. Elle
empoigne cette bite, il l'a fait coulisser dans cette bouche gourmande, par de légers coups de reins. En douceur. Puis en vigueur.
Elle se met à quatre pattes, et il la prend en
levrette. Le membre pénètre sans peine entre les rondeurs. Mais ce sable, c'est d'un inconfort... Pourtant, leurs attributs étaient faits pour se rencontrer, et glissent l'un dans l'autre dans une profondeur insoupçonnée.
Puis il s’allonge,
et elle le chevauche, les yeux dans ses yeux. Bientôt il en veut plus : il écarte les deux globes du fessier, qui laissent
apparaître un petit anus tout rose, qui se déforme bientôt sous les coups de
boutoirs. Elle savoure un moment ce remplissage total, avant de se relever, d'enlever ce chibre qui la remplit, et décide
d’inverser sa position. Lui reste allongé, tandis qu’elle regarde vers l’avant, vers les vagues.
Elle gémit au rythme de
la pénétration régulière. Lui se régale de la vue de cette lune fendue par ses coups de boutoirs qui vont se planter loin, encore un peu plus loin.
Enfin, elle décide de le faire jouir dans sa bouche,
et fait aller et venir sa langue tout au long de l’engin qui libère, enfin, ses
saccades blanches qui finissent par couler en cascades légères sur sa poitrine
pointue.
Source de l'illustration : http://www.paoru.fr/category/chroniques/
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